TEXTE ET VIDEO FOURNI PAR « LE POIVRE ROSE ». Les libertines et libertins osent tout ! 8 caméras filment leurs orgies sexuelles dans les situations les plus indécentes et cela ne les dérange pas. Le club échangiste LE POIVRE ROSE est le premier à vous proposer de participer, sans sortir de chez vous, à nos grandes fêtes du sexe. Elle écarte volontiers les cuisses dans les soirées privées du POIVRE ROSE, mais son péché mignon c'est le cumshot en pleine bouche.

Virée pour être trop bonne.

Ses études paraissaient une simple formalité lorsqu'à deux ans de leur terme, ses parents sont victimes d'un accident qui l'oblige à s'autofinancer. Elle trouve un emploi de masseuse dans un institut « comme il faut » et découvre l'excitation à voir défiler des corps nus qu'elle touche, palpe et pétrit de ses mains. Certains hommes geignent sous son toucher, d'autres bandent carrément. Un jour elle se lâche et aspire le gland jusqu'à avaler le liquide chaud, puis c'est de plus en plus souvent. Trop de clients qui reviennent trop souvent et des bavardages finissent par interroger son employeuse qui la licencie. Marion comprend bien que la propriétaire des lieux risquerait une condamnation pour proxénétisme quand bien même elle ignorerait l'existence des attouchements sexuels : Il lui reste alors seulement un mois avant la frontière finale pour devenir vétérinaire.

Des opportunités à points nommés.

Un vieux confrère débordé accepte de lui sous-louer son Cabinet, et deux ans plus tard alors qu'elle a envie de s'installer dans un milieu plus rural pour s'occuper d'autres animaux que des caniches, on lui propose un remplacement aux confins du Val d'Oise. C'est là qu'elle rencontre son actuel compagnon chez qui elle s'installe et monte sa clinique presque aussitôt.

L'uniforme sans soutien-gorge : une stratégie de séduction.

Marion assure qu'elle sait, au premier coup d'oeil, si elle provoque du désir. Mais selon elle, la même femme peut séduire un homme ou bien carrément le repousser, en fonction de comment elle se présente, et en premier lieu par sa tenue vestimentaire. Il existe très peu d'études sur l'efficacité du soutien-gorge car ça fait partie des accessoires qui sont devenus indispensables par l'effet d'un phénomène de foule bien avant qu'on ait pensé à s'enquérir de son efficacité réelle. La seule étude sérieuse est une thèse de doctorat, qui démontre très clairement que de ne pas porter de soutien-gorge renforce le maintien des seins et leur confort. Marion a toujours considéré cela comme un évidence que si l'on soutient artificiellement un corps, il s'avachit, et elle qui n'a jamais porté cet accessoire a des seins moyens bien durs avec des pointes qui se lèvent vers le haut. Son arme de séduction est donc sa blouse blanche au genou mais boutonnée jusqu'à mi-cuisses seulement, et un corps nu dessous. Elle a le col suffisamment ouvert pour que ses tétons puissent apparaître subrepticement au mouvement, mais pas trop pour laisser la surprise de leur galbe aux seuls élus.

Des clients satisfaits.

D'après Marion, les gens du coin ne se sont jamais autant préoccupés de la santé de leurs animaux ! Elle ne trouve rien de mal à ça, déjà parce qu'elle n'a pas de confrère proche à qui faire de la concurrence, ensuite parce qu'elle est payée pour ses diligences médicales et pas du tout ses prestations buccales. Ce sont toujours les hommes qui viennent, certains juste pour mater cette charmante voisine, d'autres pour se faire à nouveau avaler le sexe par la bouche pulpeuse de Marion. Il faut dire qu'elle a son secret : « Quand tu suces un mec, tu te projettes dans sa queue, tu deviens sa queue. Il faut bien utiliser ses lèvres après les avoir ramollies en passant la langue dessus. Je mets beaucoup de salive et parfois même je crache sur le sexe. L'erreur de beaucoup de femmes, c'est qu'elles aspirent, si j'en vois une qui a les joues en creux je me dis tout de suite qu'elle ne sait pas sucer. Je fais en sorte que mon partenaire ait une belle vue sur mes cuisses et mon décolleté, et mon point fort c'est que dès que je sens qu'il gonfle donc qu'il va éjaculer, je tire la langue, je pose le sexe dessus et je le branle en caressant les testicules pour qu'il puisse voir sa semence entrer dans ma bouche. Je ne m'arrête pas au premier jet, je continue la caresse jusqu'à ce qu'il commence à ramollir car la jouissance dure bien plus longtemps que l'éjaculation. Et bien sûr j'avale tout en le fixant dans les yeux ». On en a des frissons !

TEXTE ET VIDEO FOURNI PAR « LE POIVRE ROSE ». Pour comprendre et pénétrer le monde libertin, regardez ce que filment nos 8 caméras au cours d'une soirée libertine. Une centaine de couples se retrouvent dans le club échangiste LE POIVRE ROSE pour une grande fête du sexe sous l'œil indiscret de nos objectifs.
Violette n'était pas du tout le genre à s'envoyer en l'air avec des couples. Elle est une habituée des soirées privées et une régulière de Maîtresse Marie avec laquelle elle entretient une relation très privilégiée.

Les vicissitudes de la vie.

« Après mon divorce et à 36 ans, j'ai repris un métier pour oublier mes déceptions liées au passé. Bien de ma personne et pas trop bête, j'ai été embauchée comme agent immobilier dans un groupe bien connu. Pour m'entraîner, on m'a donné des locations à commencer par un T3 en centre-ville. C'était un bel appartement à Saint-Mandé, récemment refait, un très bon produit, j'ai donc décidé d'être très sélective pour trouver un excellent preneur. J'ai passé une annonce avec une heure de visite sur place, histoire de repérer facilement les meilleurs candidats. »

Les critères de sélection.

« Dans les études de gestion que j'ai suivies, on avait une femme qui donnait les cours de présentation. D'après elle, pour réussir, il fallait porter un pantalon noir ou une jupe au genou. Elle suivait ses propres conseils et d'ailleurs elle n'avait pas de fric, pas d'amis, pas de mari et pas d'enfants. Moi, j'ai lu un grand hypnotiseur qui disait que pour ses représentations publiques, il préférait choisir un garçon aux cheveux longs ou une fille en minijupe. Il expliquait qu'en général, c'était un signe de capacité à lâcher-prise, donc d'une bonne faculté d'adaptation. Quand on sort le soir, toutes les filles « bien » ont des jupes courtes ou même ultra-courtes, c'est pour moi un signe d'acceptation et de respect de soi, donc des autres. »

Candidats idéaux.

« J'ai immédiatement repéré un jeune couple qui correspondait parfaitement à cette description idéale. Je les ai emmenés à l'agence pour constituer le dossier et par sécurité j'ai noté la candidature d'un autre visiteur. Le bail n'a été signé que trois jours après car un diagnostic était périmé et il fallait la signature des parents qui se portaient caution. Les locataires m'ont demandé de bien vouloir accepter leur invitation à leur pendaison de crémaillère et j'étais fière de fêter ma première affaire alors j'ai accepté. »

Le jour « J ».

« Quinze jours plus tard, arrivée à l'heure indiquée sur le carton électronique d'invitation, j'ai sonné et tendu ma bouteille de champagne. Il n'y avait personne que le couple et la table à manger était dressée pour trois personnes. Je me suis étonnée, mais le garçon m'a dit que c'était grâce à moi qu'il avaient eu l'appartement et qu'ils avaient tous les autres jours pour voir leurs amis. J'ai bien diné, bu un peu. Ils m'ont demandé pourquoi j'étais allée vers eux parmi la cinquantaine de personnes, et je leur ai dit. La jeune fille est alors partie dans la chambre, quand elle est revenue quelques instants plus tard, elle avait troqué son kimono long contre une petite robe très seyante. Elle s'est assise à côté de moi, je voyais presque sa culotte et même ses seins dans la grande fente sur l'avant, j'aurais bien dû me douter dès ce moment là. Elle m'a demandé si elle pouvait me faire la bise et comme je hochais de la tête elle a approché sa bouche lentement de la mienne, y a collé ses lèvres, déposé un petit baiser, puis un autre, jusqu'à ce que ma mâchoire cède et laisse entrer sa langue caresser la mienne. »

Un peu plus d'espace.

« Elle m'a questionnée pour savoir si je voulais la suivre dans la chambre et je me suis levée suivie de son ami. On s'est embrassées et déshabillées mutuellement au fur et à mesure de nos caresses. Son ami accoudé nous regardait, elle s'est approchée de lui pour sortir son sexe et l'effleurer de ses lèvres. Je regardais la fellation et d'un coup je me suis dit : "Mais vas-y, il te plait et il n'attend que ça !". J'ai rampé vers lui et on l'a pris en bouche à tour de rôle. J'ai cru qu'on allait, la fille et moi, passer notre soirée à satisfaire le jeune homme, mais ce n'est pas ce qui s'est passé. Dès que lui a été en érection, ils se sont tous les deux occupés de moi, je me suis vraiment sentie au centre et c'était très agréable. Le garçon utilisait son sexe et la fille m'embrassait, léchait mes seins et me tapait les fesses tout en se caressant le clitoris pour se faire jouir. Ce fut vraiment une soirée magnifique et je crois que tout peut arriver n'importe quand pourvu qu'on reste avec l'esprit ouvert. »

TEXTE ET VIDEO FOURNI PAR « LE POIVRE ROSE ». Des fantasmes réalisés et pas de tabous pour ces couples libertins qui acceptent de se montrer devant nos 8 caméras qui filment tous les coins câlins ! Les nombreuses facilités pour que tout le monde puisse venir à nos soirées libertines gratuites.

Parking et vestiaire.

Nous avons voulu créé ce que nous ne trouvions pas ailleurs, à commencer par les « commodités ». Non, pas les toilettes, ça on en trouve partout, ce que nous voulions c'était trouver un endroit facile d'accès et effectivement notre hôtel particulier se trouve entre le périphérique et l'A86, très proche de l'A13, de l'A14 et de l'A15 et pas loin de l'A1. Nous avons transformé l'avant du terrain en parking pour pouvoir stationner le maximum de voitures à l'intérieur, car il n'y a rien de plus désagréable de sortir d'une soirée pour retrouver un PV sur son pare-brise ou pire, la bagnole en fourrière. Quand notre parking est plein, on trouve facilement de la place dans la rue car elle est pavillonnaire et en plus bon nombre de résidents partent en week-end. Comme nous sommes en centre-ville, il y a 2 stations AUTOLIB à proximité immédiate. Autre facilité : le vestiaire sécurisé. Notre hôtesse range vos vêtements et sacs dans un local spécialement dédié fermé à clé. Vos affaires sont donc parfaitement en sécurité. Bien entendu, il est tout à fait possible de se changer sur place, soit pour ceux qui viennent directement du travail, soit pour celles qui ne veulent pas montrer à leur voisins qu'elles vont sortir avec une robe entièrement transparente !

On pense aux étudiants.

Pour ceux qui n'ont ni voiture ni même de permis, c'est très simple : pour venir, il existe un réseau de transports en commun très dense et très pratique notamment grâce à la gare SNCF située toute proche. Pour repartir, nous avons toujours trouvé jusque là des couples qui vous prennent amicalement pour vous déposer chez vous. Une sorte de covoiturage gracieux entre libertins. Bien entendu, c'est mieux de nous prévenir dès votre arrivée que vous n'avez pas de moyens de retour.

Et bien entendu, c'est GRATUIT.

Oui, c'est le concept auquel nous n'avons jamais accepté de déroger. Tout est gratuit. Pour que ce soit en toute liberté que tous puissent s'amuser, pour maintenir l'ambiance fraternelle qui existe entre nous, pour permettre à ceux qui ne gagnent pas encore leur vie de profiter aussi du temps qui passe. Il passe si vite que ceux qui n'en profitent pas le regrettent amèrement. Que restera-t-il de nous dans 100 ou 200 ans ? Comme disait Épicure, « à propos de chaque désir, il faut se poser cette question : quel avantage en résultera-t-il si je ne le satisfais pas ? »

TEXTE ET VIDEO FOURNI PAR « LE POIVRE ROSE ». Dans le secret du club libertin LE POIVRE ROSE, vous pourrez observer ce qu'il se passe dans une soirée parisienne, must des clubs échangistes. 8 caméras filment pendant toute la nuit : la piste de danse, le buffet, la salle de douche et les nombreux coins câlins. Le concept fondateur des soirées gratuites, c'est d'une simple discussion qu'est née l'idée de soirées libertines gratuites.

Une soirée comme les autres.

Il s'agissait simplement de discuter. Notre couple qui est à l'origine du POIVRE ROSE recevait donc un organisateur qui avait organisé beaucoup de soirées et avait accepté de donner des conseils pour les soirées privées. Il était venu avec son employeur, et autant cet organisateur est de suite apparu comme très vénal, autant son patron semblait sympathique et détaché des valeurs bassement matérielles. Au cours de la conversation au cours de laquelle on débattait du coût des choses, ce fut lui qui avança à son employé : « Mais tu fais des soirées payantes pour sélectionner les gens par l'argent, ça ne veut pas dire que les clients seraient moins bien s'ils ne payaient pas, la réalité c'est que tu fais ça pour gagner du fric ».

Eternelle question de la sélection.

La sélection par l'argent semble effectivement une politique viable quand il s'agit d'une station de sports d'hiver, mais qu'en est-il des soirées échangistes ? Personne ne le savait car personne n'avait essayé : normal, les organisateurs font ce métier comme un autre, la plupart du temps il sert à gagner de l'argent sans rien déclarer ou en fraudant tellement qu'ils ne paient rien – d'où l'animosité bien compréhensible des boites régulièrement déclarées qui paient l'URSSAF, la TVA et les impôts... et se considèrent donc à juste titre victimes d'une concurrence déloyale de la part de fraudeurs.

Le financement : sponsor ou mécénat.

Faire une soirée a un coût. Moins élevé que ce que les organisateurs demandent à leurs invités bien sûr car ils font un gros bénéfice et ne paient rien de ce qui devrait être. Mais il faut quand même payer certaines choses. Nous voulions un buffet bien supérieur aux mini-pizzas décongelés qu'on trouve en général, une musique de qualité, une décoration changeante et renouvelée. En plus, nous attirons une attention particulière à l'hygiène qui est chez nous irréprochable. Comme l'un de nos couples fondateurs a énormément de relations, il ne fut pas difficile de trouver un mécène qui finance entièrement les soirées du POIVRE ROSE. Nous lui disons combien ça coûte et il paie. Le mécénat existe partout, surtout pour des compétitions sportives, ici c'est pour la noble cause de l'épanouissement humain, et nous tenons à remercier encore une fois ceux qui nous ont fait confiance et qui peuvent vérifier chaque fois que leurs fonds sont bien employés.

Analyse du résultat.

L'organisation de soirées, pour être bien faites, requièrent des tas de compétences, et c'est pourquoi il a été indispensable de se grouper à plusieurs couples pour y parvenir à ce niveau. Avec le recul, pas de doute possible : la clientèle est meilleure en soirée gratuite qu'en soirée payante.

TEXTE ET VIDEO FOURNI PAR « LE POIVRE ROSE ». De 21h à 2h du matin 8 caméras filment les soirées échangistes du club libertin LE POIVRE ROSE. Topless au bar, exhib sur la piste de danse et orgie sexuelle dans les coins câlins et un donjon aménagé, vous ne raterez rien de nos soirées libertines ! Ils étaient venus pour voir, mais l'attrait du lit rond a quelque chose de magnétique.

La curiosité n'est pas un vilain défaut.

Les couples viennent parfois pour la première fois dans une soirée échangiste avec la ferme intention de passer à l'acte. Mais souvent ils faut un peu de temps pour se lancer et leur baptême leur permet de juste se mettre dans l'ambiance et ils n'ont de rapports qu'entre eux ou même pas du tout.

L'intention est le premier moteur de l'action.

Pour Maryse et Greg au contraire, leur première soirée était vouée à voir ce qui se passe pour pouvoir s'y préparer, et rien qu'à voir. Ils nous en avaient prévenus et nous étions d'accord car nous pensons que dans « libertinage » il y a « liberté » et donc liberté aussi de prendre son temps. Ils ont passé un moment au buffet, sur la piste de danse, et aussi à visiter les lieux et discuter avec un de nos couples organisateurs.

Les envies sont contagieuses.

C'est souvent dans notre pièce au lit rond que se retrouvent les membres les plus « actifs ». Il y a effectivement pas mal de monde et la disposition est très pratique pour s'échanger les partenaires. Ce qu'on ne voit pas sur les vidéos de la soirée, c'est que beaucoup de gens se relaient pour regarder depuis la porte, attirés par les cris de jouissances. Maryse et Greg étaient de ceux-là, excités par le spectacle, et elle se caressait. Derrière eux, un autre couple regardait aussi. Comme cela se fait souvent dans ces soirées conviviales, l'homme caressait la hanches de Maryse puis, n'y tenant plus de voir Maryse souffler de désir, il la prit par la main pour l'entraîner dans la pièce.

L'échange ne se fait pas toujours comme on croyait.

Greg restait interdit, face aux cuisses écartées de sa femme à deux mètres de lui, il regardait comment elle se faisait baiser. Une dizaine de minutes plus tard, l'homme du couple à côté de Maryse lui fit signe qu'il proposait d'échanger. Maryse se mit donc en levrette pour recevoir cet autre homme. On aurait pu penser qu'après ça Greg s'était acoquiné avec la femme du gars qui lui avait enlevé Maryse, mais il n'osa pas. Qu'on se rassure, il a depuis franchi le pas et arrive à surmonter l'excitation de voir sa femme dans les bras d'un autre homme pour la transformer en sexualité active.

TEXTE ET VIDEO FOURNI PAR « LE POIVRE ROSE ». Venez voir ce qui se passe dans le club libertin POIVRE ROSE ! 8 caméras ont été installées dans toutes les pièces pour voir les couples échangistes en plein ébats sexuel. Elle n'est venue qu'une seule fois car tel était son objectif : participer au moins une fois dans sa vie à une soirée libertine. Elle nous explique pourquoi :

Un événement déclencheur.

« J'ai presque 60 ans mais je me sens très bien, en pleine forme. Mais mon voisin C. est décédé à l'age de 64 ans, et ça m'a ramenée à la réalité. Lui, il avait travaillé dur toute sa vie pour élever sa famille et il voulait profiter de sa retraite. Il est mort juste avant ! »

Aller au bout de ses rêves.

« J'ai compris qu'il fallait aller au bout des choses. Si l'échangisme existe, c'est parce qu'il faut l'essayer. Quand on a 20 ans, on se dit qu'on a le temps de faire ceci ou cela, mais le temps passe et ça ne se fait pas. Une autre chose que j'ai remarqué, c'est que ça fait des années que je dis des phrases du genre "je n'ai plus l'age de …". C'est tout à fait révélateur qu'on a des limites mais qu'à un certain age on s'en fout. C'est certainement parce qu'on a peur de choquer la morale de nos parents de leur vivant ou tant qu'on attache de l'importance à leur jugement. »

Une participation active.

« J'ai contacté LE POIVRE ROSE pour participer à une de leurs soirées en tant que femme seule. Mon mari m'a dit que lui se trouvait déjà trop vieux, qu'il avait loupé le train et qu'il ne voulait pas courir après pour monter en marche. Je comprends très bien. Moi par contre, je suis venue au POIVRE ROSE pour en profiter. Je suis encore bien physiquement, et je me suis dit que sur la quantité d'hommes il s'en trouverait pour avoir envie de moi. J'en ai trouvé bien plus que je n'espérais. Sans avoir compté, j'ai dû satisfaire une bonne dizaine de garçons et ce sont surtout les plus jeunes qui avaient envie de moi. Je me suis laissée prendre avec plaisir entre les fesses bien que mon mari ne m'a pas habitué à la sodomie. »

Il faut en profiter tant qu'on peut.

« Si j'ai un conseil à donner, je dirais qu'il ne faut pas avoir des relations sexuelles avec un seul homme. Un jour on se lasse et tout casse. C'est ce que j'ai vu avec toutes mes amies. Et quel plaisir de donner et de recevoir des caresses, de toucher et d'être touchée par des gens sympathiques. J'ai dit que je ne voulais pas m'habituer aux soirées échangistes car ça me donnerait trop de regrets pour mes 40 ans de stupidité, donc je n'y retournerai pas. Par contre je suis tentée par les après-midis où ils sélectionnent 3 ou 4 hommes auxquels je plairais, pour leur être offerte. »

TEXTE ET VIDEO FOURNI PAR « LE POIVRE ROSE ». Entrez dans le jardin secret des couples libertins et échangistes et découvrez le monde du libertinage avec nos 8 caméras qui filment les soirées du club échangiste LE POIVRE ROSE ! C'est sans doute notre plus fidèle habituée et on l'adore. Portrait.

Sa vie d'aujourd'hui.

Elodie est infirmière de profession, mais elle travaille plutôt comme secrétaire dans un service d'obstétrique que comme infirmière, d'ailleurs dans ce service on n'a besoin que de sages-femmes et ce n'est pas sa spécialité. Elle s'occupe donc de l'accueil des femmes enceintes et ça l'amuse toujours de voir certaines futures mères et la plupart des futurs pères arriver stressés alors que selon elle il n'y a rien de plus naturel que la naissance. « Franchement, on ne devrait pas médicaliser cet acte » nous dit-elle, « les gens n'accouchent pas chez eux parce que les assurances en France refusent de couvrir les professionnelles qui pourraient les assister, mais ça coûterait considérablement moins à la sécurité sociale comme à la famille et les expériences étrangères montrent qu'il y a moins d'incidents qui se produisent chez soi car on n'est jamais sans surveillance comme à l'hôpital et il n'y a pas le stress de l'environnement hospitalier ». Comme remarque personnelle, nous dirons que nous ne trouvons pas du tout que l'hôpital soit hospitalier, comme quoi les mots peuvent tromper...

Echangiste depuis toujours.

Elodie travaille donc en blouse blanche d'infirmière avec un badge à son nom sur son sein gauche. Elle n'a pas attendu de faire ses études à l'école de Bobigny pour faire des expériences originales. A l'age de 16 ans, elle avait un petit copain et habitait dans la Seine et Marne, fréquentait un lycée sans souci et vivait plutôt sérieusement, entre ses études et la musique dont elle était déjà une grande fan. Elle avait une amie – de son age et qui fréquentait la même classe – avec laquelle elle faisait ses courses et révisait ses devoirs. Elle avait bien compris qu'il ne fallait pas travailler avec des garçons car le travail avance peu quand on drague. Avec cette amie, elle se voyait assez souvent, notamment pour aller au cinéma. Un jour, elle décidèrent de passer la soirée ensemble, chacune accompagnée de son mec. C'était chez Elodie qui était sur son lit avec son copain tandis que son amie partageait le canapé avec le sien. Bien entendu, chacun embrassait sa chacune en discutant à bâtons rompus, effleurant les petites poitrines d'adolescentes à travers les chemisiers et les mains posées les cuisses, et c'est là qu'Elodie proposa : « On échange ? ». « Hum » dit son amie en guise de réponse, et ça voulait dire « pourquoi pas ? ». Elodie alla rejoindre l'amoureux de sa copine et vice-versa. La situation dégénéra d'elle-même. Quand Elodie raconte, c'est tellement excitant qu'on a du mal à attendre la fin. Elle embrassa le garçon, descendit la fermeture éclair pour prendre son sexe dans la bouche et le lécher, et quand il fût prêt elle vécut une belle relation sexuelle en regardant son amie se faire prendre en levrette par son copain à elle. Elodie est restée en bonne relation avec cette amie d'enfance bien qu'elle ait déménagé sur la capitale pour suivre ses études, et elle l'a amenée un fois à une soirée du POIVRE ROSE.

Un tempérament doux et une fine intelligence.

Pour beaucoup de ses collègues de travail, Elodie est difficile à cerner. Sans doute qu'ils ne comprennent pas son ouverture d'esprit. En soirée en revanche, il n'y a pas plus simple pour la comprendre, il suffit de suivre son regard et il vous dira si vous lui plaisez. Un conseil : laissez-vous faire car c'est une experte de la fellation.

 

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